L’efficacité et la productivité étant des piliers essentiels du succès professionnel, les outils d’optimisation des méthodes de travail seront toujours au centre des nécessités. L’intelligence artificielle, répondant parfaitement à ce besoin, est devenue un domaine de prédilection pour les géants de la technologie. Acteur de premier plan dans ce secteur, OpenAI travaillerait actuellement sur des agents intelligents capables d’interagir de manière autonome avec les appareils électroniques des utilisateurs afin d’automatiser des tâches complexes. Selon les informations que nous avons reçues, ces nouveaux outils pourraient véritablement bouleverser le monde du travail.
Depuis un certain temps, l’industrie technologique assiste à une compétition acharnée pour la mise au point d’assistants virtuels de nouvelle génération, visant à surpasser de loin les fonctionnalités offertes par Siri et Alexa. Ces nouveaux systèmes, propulsés par l’IA, sont communément appelés « agents intelligents », « agents autonomes » ou encore « agents IA ». Ils se distinguent par leur capacité à réaliser des tâches complexes de façon autonome, sans nécessiter une supervision constante. Toutefois, malgré l’excitation suscitée par les progrès en ce sens, l’industrie peine encore à atteindre un niveau d’autonomie totale lorsqu’il s’agit de faire appel à un système d’IA innovant.
Pour cause, des défis conséquents. En effet, même les tâches les plus simples à réaliser pour les humains restent complexes pour les ordinateurs. OpenAI serait en train, selon une source anonyme informée, de développer des agents IA capables d’effectuer des tâches spécifiques à la place des utilisateurs. L’entreprise travaillerait d’ailleurs depuis au moins un an sur ces nouveaux logiciels. La date de sortie desdits produits reste cependant inconnue.
Deux logiciels révolutionnaires ?
En réalité, OpenAI serait en train de développer deux agents autonomes distincts, chacun étant conçu pour répondre à des besoins spécifiques. Le premier type d’agent est un logiciel capable de prendre le contrôle des appareils des utilisateurs pour effectuer des tâches locales. Le système serait programmé pour automatiser une variété d’opérations, comme le transfert de données entre différents formats (par exemple, d’un document texte vers une feuille de calcul), ou encore le remplissage et la saisie automatiques de formulaires, tels que les notes de frais, dans des applications de comptabilité. Il imiterait ainsi les interactions humaines avec les ordinateurs, telles que les clics de souris, les mouvements de curseur, la saisie de texte ainsi que les interactions avec les applications. À l’instar de Siri sur les appareils Apple, cet agent pourrait être installé (du moins en partie) localement sur les dispositifs des utilisateurs, permettant ainsi des réponses plus rapides et une expérience utilisateur améliorée, moins dépendante des serveurs distants.
Le second logiciel en développement cible les tâches en ligne. Il pourrait, par exemple, être chargé de rechercher et de collecter des informations sur Internet, de planifier des voyages ou encore de réserver des billets d’avion. Cette approche permettrait aux utilisateurs de déléguer des tâches numériques chronophages à un agent intelligent, optimisant ainsi leur gestion du temps et leur productivité.
Des inquiétudes liées à la sécurité
Si ces technologies développées par OpenAI fonctionnent réellement telles que décrites par la source anonyme, des questions importantes en matière de sécurité et de confidentialité seront soulevées. Le fait d’opérer directement sur les appareils des utilisateurs présente notamment des risques importants de vol de données, similaires à ceux posés par les logiciels malveillants. Malgré le potentiel de ces outils à améliorer la productivité, il se pourrait que les utilisateurs potentiels, préoccupés par la sécurité de leurs informations personnelles, affichent une certaine réticence.
Pour répondre à ces inquiétudes légitimes, il est essentiel qu’OpenAI mette en œuvre des protocoles de sécurité rigoureux. Cela comprend l’assurance que tous les logiciels respectent scrupuleusement la confidentialité des données des utilisateurs. Une mesure clé pourrait être de requérir systématiquement l’autorisation des utilisateurs avant toute action effectuée par l’agent sur leur appareil.