La communauté scientifique en est encore bouleversée, et pourtant, c’est bien la réalité ! Trois nouvelles études menées en parallèle par des équipes de recherche indépendantes les unes des autres ont démontré des résultats identiques : la théorie de la relativité (générale et restreinte) doit être entièrement revue, elle comporte des erreurs trop importantes qui nécessitent son invalidation « temporaire ».
Mais alors, si les erreurs sont « trop importantes » pour maintenir sa validité, pourquoi n’ont-elles pas été relevées jusqu’à maintenant ? La réponse est assez simple : jusqu’à présent, les études menées par les différentes équipes de recherche à travers le monde, visant avant tout à tenter de rendre les deux théories de la relativité (générale et restreinte) plus complètes, et non forcément à les invalider, ne disposaient pas des ressources technologiques nécessaires à effectuer des tests précis et minutieux à très grande et très petite échelle.
Les différentes avancées dans les domaines de la physique, la nanotechnologie, l’astronomie et l’astrophysique ont permis d’orienter les différentes recherches sur des éléments peu explorés jusqu’à présent, et ce sont ces derniers qui ont commencé par révéler des défauts dans les théories du célèbre Einstein.
Il faut savoir que les premières incohérences datent d’il y a quelques décennies déjà, mais elles étaient pour la plupart restées au stade d’hypothèses ou en attente de validation, l’attente reflétait avant tout un manque technologique dans le but de procéder à des tests suffisamment poussés et précis.
« Au départ, nous n’avions relevé que quelques incohérences, mais nous pensions que cela était avant tout dû à des erreurs de mesure de notre part. Nous avons alors effectué les tests à plusieurs reprises et en utilisant des méthodes différentes, et nous tombions à chaque fois sur le même résultat, avec une marge d’erreur de seulement 0.001% », nous informe Steven Hallking, chercheur en physique théorique à l’Université de Princeton.
« Et ce qui est d’autant plus surprenant, c’est qu’une fois le rapport terminé et envoyé pour examen, nous avons comparé les résultats finaux avec les deux autres équipes effectuant les mêmes recherches que nous, et à notre grande surprise, nous avons constaté que ces derniers étaient pratiquement identiques. Du moins assez similaires pour déterminer avec certitude qu’il ne s’agissait pas d’une coïncidence, ou d’une quelconque erreur répétée », ajoute-t-il.
Plus de détails sont à venir prochainement, et cet article sera mis à jour en conséquence. L’étude a été publiée dans la revue April Fish Letters, après avoir été validée par des paires de poissons.